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QUELQUES BREVES SUR L'HISTOIRE DE MERCK-SAINT-LIEVIN

Avroult faisait autrefois partie de Merck!

Aux 18 et 19eme siècle, on peut déjà retrouver le nom « Mercq-St.Liévin » sur d’anciennes cartes, mais également nos différents hameaux : Foretel (Forestel), Gd Menillet (Manillet), Le val, Piquendal (Picquendal) et Warnéque (Warnesques).

Avroult figure également sur ces cartes comme étant autrefois un hameau de Merck-Saint-Liévin, parfois sous le nom de « Averoult » ou « Averhoult ». 

 

Averhoult étant d’autant le nom de la seigneurie de ces terres. Mais à partir de la révolution française, les habitants d’Avroult  vont tenter de fonder leur propre commune.  

Une cause souvent retrouvée dans les documents historiques était les coûts liés aux travaux de l’église de Merck-Saint-Liévin.  

C’est de 1806 à 1808 que le conseil municipal de Merck-Saint-Liévin arrêta des règlements pour céder des terres à Avroult afin qu’il puisse y construire sa propre chapelle.

Des pétitions envoyées au préfet de 1811 à 1816 revendiquant l’éloignement des 2 agglomérations conduisirent à l’indépendance d’Avroult. La délimitation territoriale d’Avroult se fera en 1833.

Avroult deviendra une commune le 8 juin 1834 puis une paroisse en 1842.

La seigneurie de Warnecques

  La seigneurie de « Warnecques » (du gallo-germanique « Werniacum » qui signifie le « domaine de Werno ») est tenue par une famille du même nom jusqu’au XIII siècle. Elle s’installe à la périphérie du village entre l’Aa et la Rue Principale, élevant une motte féodale qui se transformera en un château de pierre.  

 

Propriété de Claude de Croy, comte de Roeux, on peut imaginer dans le croquis ci-dessous en face avant des jardins. Un corps composé de 3 logements en pierres et couverts d’ardoises disposés en carré. Puis des bâtisses agricoles couvertes de chaume donnant sur une basse-cour. Un parapet servant de porte d’entrée en haut à droite accosté à une tourelle cylindrique couverte d’ardoise.   

Un lieu-dit « la motte » est visible sur les cartes de Cassini reflétant la présence d’un bâtiment à cet endroit.

Les cartes de l’état-major nous y indiquent un bâtiment dont l’accès se fait plutôt par le « Moulin de Suzette ».

Ce château fût incendié puis rasé. Ses vestiges servirent à la construction de nouvelles maisons. Et le sentier nommé « le cavin de catiau » pouvait nous amener à ses vestiges.

Des fouilles effectuées à cet emplacement vers 1841 par Jacques Simon et Philippe Godard ont permis d’y trouver des morceaux de mosaïques, des fers de lance, des chausse-trappes, un puits, des aqueducs et des squelettes humains.

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